A quel degré doit- t'- on prendre quand il est dit que "la souffrance est la clé de la libération"?

Je ne sais pas , mais faut-il forcément souffrir pour se libérer ? Dans tous les cas carcéraux , nous sommes prisonniers d'un univers qu'on a du mal à comprendre avec toutes nos théories , pour échafauder un plan pour s'émanciper de ses lois ...

Je ne sais pas à quel degré..mais cette saloperie de souffrance n'est certainement pas la clé de la libération mais une prison effroyable..

Quand elle brise l'orgueil et libère des chaînes du "moi" prétentieux et plein de vanité.

Quand l'âme se renforce à travers cette souffrance...quand nos souffrances sont destinées, dédiées, à soulager celle d'autrui ...

La douleur nous avertit qu'il faut faire quelque chose, se soigner ou retirer sa main du feu

https://www.youtube.com/watch?v=wmJQMRsAQHs

Prix cher à payer pour sa libération.

La souffrance est un emprisonnement sans clé,

Ce qui voudrait dire : vous faites la guerre mais rassurez-vous, vos souffrances vous libéreront"

Pas ceux qui sont morts, eux ne reviendront pas pour voir cette libération

Je ne veux pas être libéré de cette façon.....je préfère rester prisonnier des plaisirs .

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Tu penses à Schpoenhauer?

mystère

Au degré du gros gras qui te l'inflige.