Les chrétiens c'est environ 2000 ans et l'Islam 1300? Que y avait-il avant comme religion dans les région de ce nouvel empire musulman?

et les juifs 3000 ans   avant les dieux multiples egypte grec romains

Mais avant il y avait quoi comme sectes ?

Ils ont mis 700 ans avant de s'apercevoir que c'était un bon plan  !!!

c'est deux choses différentes, ces deux empires ...

la chrétienté avait été propagée par bouche-à-l 'oreille

et sous les persécutions dans l'Empire Romain (et aussi

un peu au-delà jusqu'à l'Inde) ... puis elle avait été prise

par l'autorité romaine et imposée ...

sur touts régions de l'Empire elle est devenue obligatoire.

Mais le polythéisme n'était pas vraiment persécuté (comme

l'était auparavant le christianisme). Le polythéisme avait

été méprisé, déconsidéré comme de coutume arriérée,

d'inculte. Le terme "païen" vient de cette époque (à ma 

connaissance), qui signifiait le paysan, l'illettré, l'inculte 

... car c'est dans les campagnes de l'Empire, que le

polythéisme perdurait des siècles après ...

l'histoire de l'Islam est différente. Il est né ... dans un

endroit reculé de l'Empire Romain où le christianisme

n'avait pas été bien enraciné. Il y a aussi une théorie,

qui soutient que l'Islam est la transformation de 

l'Arianisme, qui étant déclaré hérétique devait se

retirer loin de pouvoir centrale (au fond de l'Arabie) ...

quand l'Islam est né ..., l'Empire agonisait déjà (même

si à l'Est justement, il résistait mieux). L'Islam est opposé

au christianisme. Pour l'Islam, la réussite (surtout militaire)

est que Dieu (Allah) est avec. Pour nous Dieu est Celui

qui Se laisse clouer sur la croix, Se laisse insulter, Se

laisse abandonner ... , qui est absolument inacceptable

pour les Musulmans (pour les adeptes d'Arian aussi).

Un Mohamed (Mahomet ...) victorieux est le signe, le

preuve absolu qu'il avait raison, car Dieu est avec lui !!

l'Islam, c'est par l'épée qu'il a forgé son empire ... et 

failli être ce que Constantin espérait avec le christianisme

l'âme de l'empire ...

si Constantin avait (aurait) choisi l'Arianisme comme

religion d'état ... peut être il aurait réussi (bien sûr, alors

les persécutions contre l'Eglise continuaient) ... 

c'est un sujet intéressant et peu développé, que tu 

soulève llullu ... 

j'espère qu'on aurait (encore) des réponses ... 

https://vous-avez-dit-arabe.webdoc.imarabe.org/his...

Le polythéisme des pharaons, puis ils ont eu qu'un seul dieu, le dieu solaire Aton

Moise c'est du temps des pharaons

 Jean Soler propose l'archéologie du monothéisme. À l'origine, les Hébreux croient à des dieux qui naissent, vivent et meurent. Leurs divinités sont diverses et multiples. Yahvé a même une femme, Ashera, reine du ciel, à laquelle on sacrifie des offrandes - libations, gâteaux, encens. Pour ramasser cette idée dans une formule-choc, Jean Soler écrit : "Moïse ne croyait pas en Dieu." Le même Moïse, bien que scribe de la Torah, ne savait pas écrire : les Hébreux n'écrivent leur langue qu'à partir du IXe ou du VIIIe siècle. Si Yahvé avait écrit les Dix Commandements de sa main, le texte n'aurait pas pu être déchiffré avant plusieurs siècles.

Le dieu unique naît dès qu'il faut expliquer que ce dieu national et protecteur ne protège plus son peuple. Il y eut un temps bénit, celui de la sortie d'Égypte, de la conquête de Canaan, de la constitution d'un royaume ; mais il y eut également un temps maudit : celui de la sécession lors de la création de la Samarie, un État indépendant, celui de son annexion par les Assyriens, à la fin du VIIIe siècle, et de la déportation du peuple, celui de la destruction de Jérusalem par le roi babylonien Nabuchodonosor au début du VIe siècle.

Le monothéisme s'impose dans la seconde moitié du IVe siècle. Le dieu des Perses, qui leur est favorable, devient le dieu des juifs, qui souhaitent eux aussi obtenir ses faveurs. Ce même dieu favorise l'un ou l'autre peuple selon ses mérites. On cesse de nommer Yahvé, pour l'appeler Dieu ou Seigneur. Les juifs réécrivent alors le premier chapitre de la Genèse.

Menacé de disparition physique, le peuple juif cherche son salut dans l'écrit. Il invente Moïse, un prophète scribe qui consigne la parole de Yahvé. Il se donne une existence littéraire et se réfugie dans les livres dont le contenu est arrêté par des rabbins vers l'an 100 de notre ère. Les juifs deviennent alors le peuple du Livre et du dieu unique.

L'Arabie, l’endroit où est né l’islam, était majoritairement polythéiste. La foi chrétienne était répandue dans les provinces de l'empire byzantin tels que la Syrie, la Palestine ou l’Égypte ainsi que dans le nord de la Mésopotamie. L'Arabie du Sud était influencée par l’Abyssinie (Éthiopie) chrétienne. De là, le christianisme s’est diffusé vers le sud de l’Arabie. A Médine, comme à La Mecque, il n’existait pas de communauté chrétienne et la Bible n’était pas encore traduite en arabe. En arabe, il existait des apocryphes du Nouveau Testament. Il en résultait de toute évidence un certain déséquilibre doctrinal des chrétiens en Arabie et la connaissance de la Torah s’appuyait exclusivement sur les ouï dire.

Contrairement aux premiers chrétiens, les musulmans ont eu recours à la conquête guerrière au cours de la première expansion qui va jusqu’au 10è siècle. Mais la force n’a pas été le seul moyen pour obtenir des conversions à l’islam. Les chrétiens d’Orient étaient divisés par la rivalité entre Alexandrie et Constantinople et déchirés par des schismes. De plus, les juifs et chrétiens qui avaient le statut de la dhimma (protection) devaient en contre partie, payer deux impôts : la djizia et le kharâj, ce qui n’était pas le cas du converti. Enfin, beaucoup de chrétiens égyptiens et berbères d’Afrique du nord ne supportaient pas le joug de Constantinople la grecque. La deuxième expansion a été réalisée pacifiquement par des commerçants et des missionnaires. Ce fut le cas de l’Inde du sud, de la Chine du sud, de l’Indonésie, de l’Afrique de l’est, de l’Ethiopie et du Soudan. A partir du 14è siècle ce sont les pasteurs et les marabouts qui ont progressivement converti l’Afrique de l’ouest où la colonisation européenne a également provoqué des conversions. La troisième expansion plus militaire que pacifique voit les ottomans issus de la tribu turque de Ghuzz s’emparer en 1453 de Constantinople rebaptisée Istanbul. Puis ils occupent la Grèce, la Serbie, l’Albanie, la Bulgarie, la Hongrie, le Maghreb (sauf le Maroc) et le Proche-Orient. Toutefois, les communautés religieuses avait le droit de conserver sa langue et sa religion ce qui a évité aux pays des Balkans d’être germanisés ou slavisés.

Tout le pourtour de la Méditerranée était majoritairement chrétien à la création de l'islam.  Sainte Monique, Saint Augustin, par exemple, étaient berbères. Sinon, il y restait des juifs et des païens polythéistes (dieux grecs, romains ou perses).

L'Égypte, avant d'être ravagée par les barbares musulmans (pardon pour le pléonasme), était un haut lieu du christianisme et un centre intellectuel important. Les moines chrétiens avaient notamment conservé une grande partie du contenu de la grande bibliothèque d'Alexandrie qui, à l'arrivée des pillards musulmans, a été brûlée ou jetée à l'eau.

Pourquoi ne parles-tu pas de l’hindouisme ?