Si une morale se passe de principes devient-elle, de fait, immédiatement universelle?

difficile à la morale d'être universelle

car les principes moraux sont à géométrie variable

Votre Condescendance et votre Mépris bavent comme les gastéropodes sur les simples, mais ne vous assurent pas pour autant un minimum de morale et d'humanité !? 

On peut imaginer une morale sans principe explicite. Je fais ce que je perçois bien, mais pas par une démarche rationnelle que je formalise dans le petit théâtre de ma conscience, juste en faisant appel à une sorte d’éveil à moi-même. On peut supposer que les animaux procèdent ainsi, et cela a un petit air bouddhiste.

Est-ce qu’alors je suis soumis à des principes que je ne comprends pas, où suis-je soumis à des pri principes universels ? Je pense que la première proposition est vraie, car même si on a l’impression de connaître les principes de sa morale, en réalité on est soumis à des principes que l’on ne comprend pas.

Ajout : c'est différent de dire que c'est un réflexe, mais il peut y avoir des automatismes.

Le gastéropode est hermaphrodite  ça c'est universel .Cependant , j'ai beau me creuser les quelques neurones encore actifs , j'ai pas pu trouver un semblant de morale sans principe , ce qui ne veut pas dire que ça n'existe pas ...Et le principe est toujours la croyance . 

J'ignore par quel mécanisme, ma réponse à votre question sur les axiomes, truismes et autres lutins celtiques a disparu, mais je soupçonne le "dubitatif".

Pour répondre à votre ajout "Tout ce que la savoir établit comme vérité devient-il une évidence ? " Je vous répondrai que le savoir n'établit pas de vérité, seule la science a ce privilège et dés lors vérité et savoir se confondent et il n'est plus question d'évidence, mais plus de loi ou de règle.

Otez moi d'un doute; N'auriez vous pas un peu abusé de la vodka hier (mardi) entre 7 et 8 heures du soir ?

Il me semble que c'est plutôt le contraire et que les principes sont des fondements du jugement si évidents par eux-mêmes qu'ils sont universellement admis, sitôt que l'esprit y porte attention.

Au contraire une "morale" sans principe s'en remettrait forcément à l'arbitraire de la sensibilité de chacun, à un subjectivisme dont on aurait le plus grand mal à faire dériver la moindre loi morale universelle, bref à une anarchie éthique.

Par exemple ce sont des principes intangibles et antérieurs à toute institution morale que chacun a droit à la vie et par conséquent aussi le droit de s'approprier ce qui est nécessaire à sa vie et de défendre si nécessaire de vive force sa vie et ses propriétés légitimes. Principes si nécessaires qu'ils s'imposent à tous dès l'état de nature, même en l'absence de toute morale et de tout droit institués.

Un gangster à pied , c 'est  plus un traine savates qu'un pieds

nickelés  , si de surcroit il a les pieds plats  . 

.Une morale universelle , un rêve de Papiste  mégalomane

autant que polyglotte .

.

ce sont les principes qui sont universels, avant la morale...

donc heu...

🤔🤔🤔

Je ne vois pas comment la morale peut se passer de principes chez l'humain en fait.

Alors que les gastéropodes doivent avoir des principes(de survie par exemple), mais j'ai par contre du mal à imaginer leur morale.