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Anonyme
Anonyme a posé la question dans VoyageFranceBretagne · il y a 1 an

Dans quelles villes fait-il bon vivre en côtes d'armor?

8 réponses

Évaluation
  • il y a 1 an

    toutes les villes des côtes d'Armor sont agréables à vivre ?

    Dinan , Saint -Brieuc, Guingamp, Loudéac ,Lannion ,  Lamballe , et toutes les autres , la mer n'est jamais loin .. 

  • il y a 1 an

    Pour une ville, je choisis Lannion, car tout près de la mer, du planétarium de Pleumeur-Bodou et l'ambiance m'y semble beaucoup plus agréable que celle de Saint-Brieuc...

    Ou alors Dinan, l'extraordinaire cité médiévale, à vingt kilomètres de Saint-Malo et pas très éloignée de Rennes (une métropole est parfois pratique).

    https://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20...

    https://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20...

  • Anonyme
    il y a 1 an

    J'aime bien Perros-Guirec Côtes-d'Armor

  • pat
    Lv 7
    il y a 1 an

    j'aurais une préférence pour Dinan.

  • Anonyme
    il y a 1 an

                                                      

  • Anonyme
    il y a 1 an

    Selon la légende qui entoure cette série d'ouvrages,l'auteur Paul Wade aurait passé 19 ans dans les geôles américaines pour trafic de stupéfiants. Taillé comme une crevette lors de son incarcération, il aurait vite compris que la vie carcérale est sans merci pour le faible, et qu'il convient d'être fort pour survivre. L'auteur s'est donc rapidement intéressé à la préparation physique, et comme en cellule l'équipement est plutôt spartiate, cet entraînement se fait sans matériel, en utilisant le poids du corps. Wade, au fil des années, aurait accumulé les notes, les expériences de ses codétenus, jusqu'à élaborer sa bible sur la musculation en milieu carcéral. Certains mettent en doute l'authenticité du cursus de l'auteur, mais personnellement je m'en fiche, car la lecture de Convict conditioning est passionnante. Petit bémol : la traduction française étant réputée mal traduite, je n'ai lu que la version originale en anglais, ce qui peut rebuter certains lecteurs.

    La lecture de Convict Conditioning est passionnante même sans envisager la pratique du programme d'entraînement, car le lecteur y apprend une foultitudes de choses. Sur la vie carcérale tout d'abord. Sur les bases de l'anatomie et de la biomécanique. Sur les trucs et astuces pour s'entraîner avec des moyens matériels réduits. Sur la pratique de la gymnastique et de la musculation depuis l'antiquité. Et sur les avantages d'un entrainement au poids du corps par rapport à la musculation avec appareils d'isolation et haltères. L'auteur est particulièrmeent vindicatif sur ce dernier point. Une grosse leçon de morale est également faite sur le recours aux produits dopants (stéroides) et aux poudres protéinées, dont les usages sont largement répandus aux USA (cf. l’excellent documentaire Bigger, Stronger, Faster sur la consommation de stéroïdes parmi les culturistes, et plus généralement les adolescents américains).

    Bref, Convict Conditioning se lit très bien. On pourrait penser qu'il s'agit d'une énième méthode de musculation, axée sur le poids du corps : il n'en est rien. Cette méthode ne vise pas à acquérir une silhouette d'Appolon. Elle ne vise pas à vous faire perdre du poids. Elle ne vous fera pas non plus acquérir une masse musculaire digne d'Arnold. Son objectif est de vous faire acquérir de la force. Evidemment, au fil de l'entraînement, vous gagnerez du muscle et de la souplesse, vous affinerez votre silhouette et vous perdrez éventuellement du poids, mais ce ne sont que les conséquences secondaires de l'entraînement.

    L'objectif principal de cette méthode, c'est la force. Pourquoi acquérir de la force ? Simplement parce que dans la jungle carcérale, le plus fort fait la loi, ou tout du moins peut espérer vivre tranquillement sans être systématiquement une victime. Transposée dans notre société organisée et civilisée, la force peut également servir d'autres buts, comme se mouvoir facilement, transporter des objets lourds, agir sur des objets, s'affirmer socialement, etc. La force est donc une aptitude qu'il est bénéfique de posséder et de développer.

    Wade affirme que la prison est le dernier endroit où l'entraînement calisthénique se pratique encore selon des méthodes ancestrales. Des générations d'artistes de rue, de gymnastes, de pratiquants d'arts martiaux, de culturistes, de criminels enfermés derrières les barreaux ont enrichi les connaissances et savoirs-faire en la matière. Pour la majorité des détenus américains en effet, l'accès à la salle de musculation est restreint ou réservé aux caids, ce qui oblige à recourir à des méthodes plus primitives axées sur l'utilisation du poids du corps. J'ai quelques doutes sur le postulat de Wade : d'autres lieux ont certainement su conserver des savoirs ancestraux, même parcelaires : clubs de gymnastique, dojos, salles de boxe, associations diverses, etc. Disons que ce qu'avance Wade contribue à entretenir le mythe. Passons...

  • Anonyme
    il y a 1 an

    Sur la cote ces mieux en vrai

  • la pointe du raz - le Finistère - .... ;))

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