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On vient de retirer de la moquette murale et dessous il y a comme une mousse verte très friable, est ce de l amiante ?
5 réponses
- La DeniseLv 7il y a 2 ansRéponse favorite
non, c'est de mousse usagée, ne panique pas sur l'amiante, ^^ elle est dangereuse à l'inhalation uniquement, si tu la respires . La plupart des toitures en fausse ardoise c'est de l'amiante, tu pourras bien l'ingérer que ça ne poserait pas de problème. Ce sont les floconages qu'ils ont faits autres fois comme isolation qui le sont
- Anonymeil y a 2 ans
Non. L'amiante est blanche ou grise, et fibreuse.
- PhilouLv 7il y a 2 ans
Non, ce n'est pas de l'amiante.
C'est la sous-couche de la moquette qui est complètement détériorée.
- Anonymeil y a 1 an
Saint Nunzio Sulprizio
Orphelin (✝ 1836)
Orphelin très tôt, il fut recueilli par son oncle qui ne se privait pas de le battre. Ouvrier à Naples, battu par son oncle, il portait une plaie infectée à la jambe, causée par ces traitements. Mais, par sa patience, sa douceur joyeuse, sa présence aux autres, on l’appelait « le petit saint boiteux »
"Le petit Saint boiteux" comme l'appelaient ses camarades de travail, était patient et plein de douceur, humble et fidèle à la Prière.Avec toute la dignité de sa Foi à l'égard de ses frères aimés par Dieu, en Jésus-Christ, il partageait la peine et les difficultés des travailleurs pauvres de son temps. Il meurt à 19 ans laissant au monde ouvrier son message de Foi et de Charité.
Ce laïc italien du XIXe siècle, qui fut un ouvrier des Abruzzes marqué par une enfance douloureuse mais aussi par une piété intense, a été Canonisé le 14 Octobre 2018, en même temps que Paul VI, qui l’avait Béatifié en 1963.
À Naples, en 1836, le Bienheureux Nunzio Sulprizio. Orphelin, la jambe gangrenée, le corps épuisé, il supporta tout d’un cœur tranquille et joyeux, assistant les autres malades, consolant grandement ses compagnons de douleur et, dans sa pauvreté, soulageant de toutes les manières la misère des pauvres. Il mourut à l’âge de dix-neuf ans.
Le 01 Décembre 1963, devant tous les Évêques du monde réunis au Concile Vatican II, le Bienheureux Pape Paul VI (Giovanni Battista Montini, 1963-1978) inscrit Nunzio Sulprizio au rang des Bienheureux, le proposant comme modèle des ouvriers, de tous jeunes, mêmes ceux d’aujourd’hui :
« Il vous dira que vous, jeunes, pouvez régénérer en vous-mêmes le monde dans lequel la Providence vous a appelés à vivre et qu’il vous appartient à vous, les premiers, de vous consacrer au salut d’une société qui a précisément besoin d’âmes fortes et intrépides. »
« À vous, travailleurs, disait encore Paul VI, ce collègue pauvre et souffrant apporte un message aux nombreux chapitres.
Il dit avant tout que l’Église pense à vous, qu’elle vous estime et a confiance en vous, qu’elle voit dans votre condition la dignité de l’homme et du Chrétien.
Il dit encore combien le travail a souffert et qu’il a encore besoin de protection, d’assistance et d’aide pour être libre et humain et pour permettre à la vie son expansion légitime. […] Nunzio Sulprizio vous dira combien il est injuste de priver la vie du travailleur de son aliment supérieur et de son expression spirituelle qu’est la Prière. »
Nunzio a été Canonisé le 14 Octobre 2018 par le Pape François, à Rome.
- Anonymeil y a 10 mois
1. « Ne craignez donc pas ces gens-là (…) »
Jésus met à part deux éléments qui structurent notre vie : notre environnement et notre échelle de valeur. Il s’agit encore une fois ici d’interroger notre mesure de valeur pour opérer une révolution, une conversion pour voir le monde et notre vie avec ses yeux. Comment mesurons-nous notre vie et est-ce la bonne manière ? L’une des clés de ces difficultés est notre environnement, le regard des autres dont nous devons nous libérer pour qu’un seul regard compte : celui du Christ qui nous aime. Le regard de Dieu ne nous fait pas peur. Qui sont donc, en revanche, « ces gens » que nous craignons ? Qui sont ceux dont nous craignons la critique, la désapprobation ? Qui sont ceux dont nous croyons qu’ils pourraient menacer notre quotidien ou notre avenir ? Comment pourraient-ils nous nuire ? C’est humiliant de le reconnaître mais nous avons tous peur de ces personnes d’influence et surtout de ce qu’elles pourraient détruire de nous dans l’ombre… Seigneur, donne-nous l’humilité pour le voir et le courage pour combattre cette peur !