Comment détermine-t-on si quelqu’un est prêt pour le baptême ?

Bonjour.

Le sujet est vaste. Il y a des étapes à franchir avant le baptême. Nous devons apprendre à connaître Dieu et à lui faire confiance, devenir un disciple de Christ nous repentir et réformer notre vie, prêcher la bonne nouvelle du royaume (Jean 17:3 ; Actes 3:19 ; Hébreux. 11:6 Matthieu 24:14). Mais il nous faut remplir une autre condition pour être admis dans la famille de Dieu.

Contrairement aux gens qui aspergent des bébés ou qui baptisent de force des foules qui ne connaissent pas les Écritures, les Témoins de Jéhovah n’obligent jamais personne au baptême. En réalité, ils ne baptisent pas ceux qui n’en remplissent pas les conditions spirituelles. Avant que quelqu’un ne devienne seulement prédicateur non baptisé de la bonne nouvelle, les anciens s’assurent qu’il comprend les enseignements fondamentaux de la Bible, qu’il les applique dans sa vie et qu’il répond par l’affirmative à une question du genre : “ Désirez-vous vraiment devenir Témoin de Jéhovah ? ”

18 À de rares exceptions près, quand des personnes qui prennent part dans une mesure significative à la prédication du Royaume expriment le désir de se faire baptiser, les anciens discutent avec elles pour vérifier qu’elles sont croyantes, qu’elles se sont vouées à Jéhovah et qu’elles satisfont aux conditions requises par Dieu pour franchir ce pas (Actes 4:4 ; 18:8). Leurs réponses personnelles à plus de 100 questions portant sur les enseignements bibliques permettent aux anciens de déterminer si elles sont prêtes pour l’immersion. Il arrive que des personnes ne remplissent pas les conditions et qu’on ne leur permette pas de se faire baptiser.

tu le sauras lorsque tu sera prêt !

très très jeune on peut tout à fait baptiser d'office sans se soucier de ce que pense la personne concernée.

plus âgé on demandera au concerné de prouver son engagement dans la branche de christianisme considérée.

...... sans commentaire.....

voir avec les chrétiens

Il faut avoir fait du catéchisme pendant 2 ans. De là, tu peux te faire baptiser.

Si la personne le demande

une conviction intime et profonde ... à mon avis ....

mais comme dans toute chose, là aussi il peut avoir de changement ... après. L'homme,

l'humain change en permanence. Ce/cette baptisé(e) va avoir des obstacles où elle/il

peut alors ou échouer, ou vaincre ...

à la fin de sa vie saint Paul disait (±); j'ai réussie de garder ma foi ..., comme si ça

était une sorte de combat permanent dans toute sa vie. Un autre ; (±) j'ai terminé ma

course ...

donc ce quelqu'un a une route à parcourir (qu'il soit baptisé ou pas), donc à mon

avis la difficulté de maintenant suffit pour elle/lui, plus exactement sa volonté d'y

résister suffit de prouver (il y a souvent dans l'entourage de réticence, d'opposition

même. Si la personne voit, qu'elle est capable quant même d'avancer ..., ça suffit

(à mon avis) ...

mais étant d'âge de la raison (je suppose), là il faut être bien, complètement formé(e)

avant ça. Ceci bien sûr c'est le devoir de ceux, qui l'accompagnent sur ce bout de

chemin ...

même pour un baptisé, qui sent d'être appeler à une prêtrise ..., c'est ainsi. Il peut

avoir dit oui ... et il peut arriver plus tard, qu'il tombe, perd sa foi. De ne pas donner,

plus exactement de ne pas reconnaître cet appel ..., car peut être plus tard la

personne flanchera ... est insensé et injurieux même vis à vis de Dieu, vis à vis

l'Esprit qui l'accompagne, qui nous accompagne tous (tant que nous l'acceptons).

La vie plaisante à Dieu est entièrement libérale. Jusqu'à notre dernier moment,

dernier souffle ... nous pouvons Lui dire non ... ou rester fidèle !

donc nous devons faire attention de notre part dire à notre frère/sœur un

non, que Dieu lui, ne dirait jamais ...

la moindre des choses serait de ne pas le faire sans son consentement qualifié et majeur - donc déjà d'attendre qu'il soit adulte. La manie de vouloir baptiser des bébés - donc sans leur consentement - vient d'une superstition moyenâgeuse (pendant une période où la mortalité enfantine était largement plus élevée) selon laquelle si les bébés mourraient avant d'être baptisés, ils n'iraient pas au paradis.