Votre vision de la famille a t-elle changé? Si oui, quels ont été les évènements révélateurs?

Mes frères et soeurs ont profité que j'étais lourdement malade, immobilisé sur un lit d'hôpital à 450 km de chez moi, pour m'anarquer sur la vente de la maison des parents recue en héritage.

Dieu, protège moi de mes amis et de mes frères et soeurs, mes ennemis,; je m'en charge !

Je me suis bercé de douces illusions pendant beaucoup d'années où j'ai cru à un monde de bisounours et puis un jour, je me suis aperçu que j'avais été trop crédule . Nous ne choisissons pas notre famille .

Oui, j'ai pas une vision noire mais je suis plus lucide qu'avant.

Depuis que j'ai appris que les amants de bobonne font partis de la famille, ma vision s'est agrandie. (Je n'ai pas très bien compris s'ils sont de la famille ou font partis, par grave.)

En sachant la vérité, j'ai appris des choses qui ont changé la vision négative que j'avais de ma famille. Puis avec le temps et en grandissant, j'ai compris certaines choses de la vie... Ma vision aujourd'hui est donc plus positive qu'avant.

non toujours au plus bas

la honte

Dans un milieu malveillant et violent, j'ai essayé de prendre le contre-pied. Avoir une grave maladie et que personne ne prenne de mes nouvelles dans cette famille proche ou élargie.C''est un événement très révélateur.

Certains membres de ma famille me rejettes,sans que je saches réellement pourquoi.

Ma famille,il faut le-préciser,est très cosmopolite:vieux,jeunes,riches,pauvres,il y a un peu de tout.C'est toujours délicat,sur ses bases-la,d'évoluer en famille.De vieilles rivalités stupides pourrissent le climat.J'en ai pris mon parti.

Non. Ma vision a toujours été la même. Mes parents m'ont même poussée, contre ma volonté, à une grave tentative de suicide dans mon adolescence. Ils n'en ont même jamais eu l'air très affectés. Aujourd'hui, à cause de cette tentative, j'ai une douleur chronique très pénible à la poitrine et j'ai parfois des attaques de paniques la nuit et la sensation que mon cœur peut à tout moment lâcher et qu'il faut que je sois très vigilante pour assurer ma survie parce que par moments, j'ai la sensation d'être sur le point de mourir. Et je ne sais jamais si c'est la reviviscence de certains aspects de ma tentative de suicide ou si je suis vraiment en train de mourir. Quoi qu'il en soit, je vis entre la vie et la mort maintenant. Ces angoisses m'empêchent parfois de bien dormir. Et à cause de cet état de survie permanent, je n'ai pas les ressources physiques et psychiques pour voir plus loin et je n'ai pas réussi à m'intégrer professionnellement. Je suis en train de perdre ma vie. Alors, tu t'imagines que ça n'a fait que conforter mon opinion sur ma famille de m***.