qui a vécu la depression post-partum, la vraie pas le baby blues de 3 jours?

moi

et j'ai meme eu droit à en faire 2

ouais je sais j'aime bien me faire remarque

à la maternité j'ai eu un gros coup de mou, qui a duré une bonne semaine

j'ai pleuré tout les larmes de mon corps, et puis c'est passé

je pensais que ca allait mieux, et puis en fait 9 mois après j'étais toujours pas dans mon assiette, je me sentais pas déprimée, mais c'était pas comme avant

mon médecin me prenait pas au sérieux, il me disait qu'il me fallait des vacances, sauf qu'àprès les vacances, ben j'étais pareil, j'ai changé de medecin qui m'a diagnotiqué une dépression post partum (enfin, un contre-coup comme elle m'a dit pudiquement !!)

je voulais pas mais elle m'a donné des anti depresseurs, j'avais peur de m'habituer, de replonger quand je les arreterais

mais comme j'allais pas bien, j'en ai pris, et heureusement car j'en m'en serai pas sortie

quel médicament tu entends par anti depresseur ? car moi celui que j'ai eu ne m'a jamais assomée, au contraire, je me sentais avec un poids en moins

mon conjoint l'a su, après je ne l'ai pas trop dit autour de moi, sauf à quelques personnes, mais comme je le fais maintenant, une fois que j'ai été guérie, car je voulais pas que des remarques connes me rendent malheureuse, et en fait, globalement les gens l'ont compris

je précise que je suis pas toute seule dans mon coin, j'ai des amis, je bosse, j'ai de la famille, donc à priori, pas celle dont on pourrait penser qu'elle peut etre en depression, comme quoi, faut pas en avoir honte, car ca peut arriver

il faut en parler à ton médecin, au besoin tu changes si tu ne te sens pas écoutée, car tu vois, moi si j'avais pas changé, ben je sais pas où j'en serait

@jout : mon accouchement s'était pas super bien passé et c'était aussi un poids pour moi, j'ai demandé mon dossier médical à la maternité pour pouvoir lire ce qui avait été fait et le point de vue des médecins, compendre pourquoi ca s'était passé comme ca, et ca aussi ca m'a beaucoup aidé, donc juste pour dire que les médocs, c'est une chose qui moi, m'ont aidé, mais c'est pas forcément pareil pour tout le monde, donc il faut rechercher l'origine du mal être, et en parler c'est la première étape

Bonjour, je n'ai pas vécu une véritable dépression, mais je suis certaine que même sans médicament un médecin de confiance pourra t'aider( ne serait ce que pour te faire déculpabiliser), et t'orienter si besoin.

Bon courage!

Je suis aussi passée par là 3 mois après mon accouchement, j'ai aussi eu du mal à le dire et puis un jour j'ai craqué, je suis allée voir le remplaçant de mon médecin qui m'a prescrit des anti dépresseurs mais je ne les ai pas pris, j'en ai parlé à l'auxiliaire puéricultrice de la PMI qui m'a conseillé d'allé voir un spécialiste et depuis ça va mieux, j'ai appris à lâché prise et à me dire que tout ne peut toujours parfait.

Prends du temps pour toi si c'est possible.

Si tu as besoin n'hésites pas

Tu en as parler c'est le premier pas. Mon conseil n'essaie même pas les médicaments ça ne sert à rien mais fais toi plutôt aider par une psychothérapeute. Je l'ai vécu et ca c'est régler assez rapidement j'ai du y aller pendant 3 mois maximum je crois.

Réalité, c'est le sujet de mon mémoire. Il ne faut pas confondre toddler blues, et dépression du positioned up partum, l. a. dépression est une pathologie qui concerne 15% des nouvelles accouchées (contre 10% dans l. a. inhabitants générale), dans toutes ses formes, et il est vrai qu'un manque international de soutien y joue un rôle significant. Le blues concerne lui 50 à 70% des accouchées Et l. a. théorie hormonale de l. a. dépression est remise en question depuis belle lurette, c'est un peu compliqué à expliquer rapidement comme ça, mais pour moi (et pour bon nombre de psychiatres), l. a. dépression du positioned up partum existe bel et bien, et contrairement à ce qu'on pense, ce n'est pas hormonal, c'est bien une conquence de l'état psychologique particulier dans lequel met l. a. grossesse, l. a. femme est plus perméable aux agressions psychologiques, qu'elles soient actuelles ou passées. Et étant plus perméable, elle se laisse plus facilement déborder, d'où une plus grande fréquence des dépressions Le soutien que tu reçoit du papa, constitue une très bonne secure practices contre l. a. dépression, les études le prouvent. female, c'est beaucoup plus compliqué que ça, le soutien constitue une secure practices, mais n'empêche pas l. a. dépression si d'autres facteurs entrent en jeu. Une enfance difficile avec des carences affectives, une agression, un sentiment de mésestime de soi, des antécédents de dépresssion, une hospitalisation de l'enfant, et de nombreux autres facteurs peuvent aboutir à une dépression quand bien même l. a. femme est soutenue. Dans ce cas, le soutien est un facteur de guérison. l. a. dépression du positioned up partum est un sujet très complexe que le manque de soutien ne suffit pas à justifier, ce n'est pas une question de soutien social, il n'y a pas un facteur déclenchant, mais bien des facteurs de risques. C'est bien plus compliqué que cela, c'est un processus psychologique complexe, mais il est specific que ce n'est pas hormonal du tout, et que le manque de soutien l. a. favorise, mais il n'y a pas que ça Un père trop soutenant, trop impliqué peut faire autant de dégat qu'un père démissionnaire, tant l. a. femme peut être fragilisée psychologiquement

Bonjour,

J'ai un fils de 16 mois. Un adorable bambin que nous avons espèré très très longtemps...Sauf que....en rentrant à mon domicile 5 jours après la naissance, je n'allais pas bien et ce fut le point de départ de cette tourmente.

J'ai vraiment touchée le fond, j'ai failli me séparer de mon conjoint et les quitter tous les deux...

J'en ai parlé à la puéricultrice de la PMI et à la sage femme qui me suivait pendant les cours d'accouchement.

Elles m'ont toutes deux dirigés vers une psychologue (reste à trouvé le ou la bonne). Je n'ai pas eu besoin de médicaments, juste 1h par semaine mon moment à moi, me lâcher, pouvoir dire tout sans honte ou culpabilité. Cela fait 16 mois que je la vois et je compte bien continuer car elle me "fait" beaucoup de bien.

Elle m'a aidé à comprendre que ma dépression était déjà présente lors de ma grossesse, sournoisement à faire le guet... Puis un passé douloureux à resurgi à la naissance de mon enfant et tout à failli éclater, j'ai vraiment eu envie de tout laisser tomber et je ne pouvais plus vivre avec cette fatigue, ce poids, cette culpabilité...(Bébé à fait ses nuits à 7mois et demi !).

Je vais beaucoup mieux, j'ai appris beaucoup de moi, de mon conjoint et de mon enfant.

Je n'en ai pas parlé beaucoup à ma famille et belle famille et pas vraiment aux ami(e) car les gens qui te sont proches ne sont malheureusement pas toujours de bon conseil mais très fort pour juger.

A ce jour, je le dit plus facilement car je n'ai honte et je souhaite pouvoir parler librement et dire qu'être mère n'est pas un conte de fée ni le monde des bisounours...

Je te conseille aussi un très bon site sur Internet qui pourra peut être t'aider http://www.maman-blues.fr/

Bonne continuation sur le chemin de ta vie et garde la tête haute.

Le meilleur anti-dépresseur naturel c'est le sport... Si tu as fini ta rééducation périnéale, motive-toi et aménage-toi des horaires quotidiens de sport, je te garantis que tu vas te soigner comme ça (moi c'est comme ça que j'ai arrêté l'héroïne...). Ne dis pas que tu n'as pas le temps, c'est une fausse excuse. Le temps, ça se trouve, et puis surtout quand c'est pour sa santé !

Courage...

Il y a les anti dépresseurs. Ca remet tout en place.N 'attends rien du bla bla ambiant, soigne toi.

Rajout: Soit tu n 'as pas de dépression objectivée, soit tu resteras malade.

Les médicamants participent à une grande amélioration de la santé générale,dans toutes les pathologies ;et , en prendre trop, ou être "anti , sont aussi ridicules.

Nous ne sommes plus au 19e siècle.Heureusement.....