Pourquoi Ravaillac a t'il tué Herni IV?

il en avait marre de la poule au pot lol

il me semble que la réponse à cette question va bien au delà de savoir si oui ou non Ravaillac était un illuminé.Je vais essayer de faire simple.

Je remonte un peu en arrière pour tenter de répondre à votre question. Dès l'arrivée des Mérovingiens en France se développe les lois fondamentales du royaume soit des lois intouchables et donc les seules hors de portée de la volonté souveraine du roi ,elles sont égales à la coutume,aux lois naturelles et aux lois voulues pas Dieu.

Ainsi le domaine est inaliénable mais encore aucune femme ne peut accéder au trône de par la loi Salique.

Jusque là tout apparaît comme relativement simple enfin jusqu'en 1593 où est prononcé par le parlement le fameux arrêt Lemaistre. Une nouvelle loi fondamentale du royaume est donc créee : la catholicité ,le roi doit obligatoirement être catholique.

Tout ceci se faisant sous l'influence du dernier des déscendants (le duc de Mayenne) d'une famille qui n'a cessé de faire de l'ombre à la famille royale : les Guises. Cette famille croit en la théorie des Monarchomaques c'est à dire qu'il existe un contrat entre le roi et le peuple. En effet ce n'est pas au roi mais au peuple que dieu a délégué son pouvoir . Le peuple, étant le légitime détenteur de la souveraineté, il peut exiger la modifation du contrat qui le lie avec le roi mais aussi un partage du pouvoir avec ce dernier: "les affaires de l'état aux états (généraux)".

Toutefois cette théorie ne s'arrête pas là. Elle garantit aussi le droit de remontrance mais surtout de résistance à l'oppression.Et ce droit peut être poussé jusqu'à ses conséquences les plus ultimes : le tyranicide.

Aussi dès le 13ième siècle Saint Thomas d'Aquin et par le suite d'autres théologiens n'ont pas manqué de soulever un certain d'objections religieuses et politiques, de questions mais aussi de réticences . En effet , "Tu ne tueras point "mais encore l'histoire antique soulignait que l'échec d'une tentative d'assassinat déclenchait souvent une répression plus accrue.

Toutefois , il ne faut pas manquer de faire une distinction fondamentale (selon Thomas d'Aquin ) entre le tyran d'origine et le tyran d'exercice. Le tyran d'origine a usurpé un pouvoir qui ne lui revenait pas de droit . Ilexixte donc à son encontre un droit d'assassinat. I l est donc juger licite d'écarter la force par la force.

les Monarchomaques catholiques ( comme la famille de Guise) font donc au nom de cette théorie l'apologie du tyrannicide. A présent ,il n'y a plus lieu de savoir pourqoi Ravaillac a tué Henry , il n'était qu'un petit pantin entre les mains d'une puissante organisation qui prônait l'assassinat de tout roi qui n'était pas catholique. En effet Henry 4 ne respectait pas les lois fondamentales du Royaume .

Désolée j'ai pourtant essayé de faire court et encore il manque beaucoup d'éléments.

henri IV est un protestant (puis il se convertit). toute sa famille est morte pendant la saint barthelemy.

il fait l'edit de nantes qui laisse les protestants vivrent en toute liberté (et leur accorde même qqs places fortes comme larochelle).

il est le premier de la lignée des bourbons après avoir vaincu contre les derniers Valois (guerrre des 3 Henri).

il mene une politique moderniste (route, frontiere, alliance nouvelle, prise de distance vis à vis de l'eglise).

Bref, cette politique ligue contre lui tous les réactionnaire qui vont dans ce huguenot, quelqu'un susceptible de changer toute la France et pas à leur profit. Comme commanditaire de Ravaillac,on peut donc évoquer des cathos illuminés, des seigneurs perdant leur pouvoir, les valois voulant revenir sur le trone, un acte de folie, certains pays etrangers aussi.

Beaucoup d'historiens pensent qu'il a été manipulé par des ennemis du roi.

François Ravaillac (né en 1578 et exécuté 27 mai 1610) assassina Henri IV, roi de France, le 14 mai 1610.

Biographie

Né à Touvre, près d'Angoulême, il était d'origine pauvre et commença sa vie en tant que serviteur, puis devint enseignant.

Très religieux, il chercha à entrer dans l'Ordre des Feuillants. La courte période probatoire échoua du fait de ses visions. Il tenta d'entrer à la Compagnie de Jésus en 1606.

En 1609, il eut une vision lui demandant de convaincre Henri IV de convertir les Huguenots. Incapable de rencontrer le roi, il interprète la décision de celui-ci d'envahir les Pays-Bas espagnols comme le début d'une guerre contre le pape. Déterminé à arrêter le roi, il décide de le tuer.

Le 14 mai 1610, Ravaillac vole un couteau dans une auberge. Il se cache dans la rue de la Ferronnerie à Paris pour y guetter le passage du carrosse royal, car le roi ayant décidé de se rendre à l'Arsenal pour visiter son ministre Sully qui était souffrant. A quatre heures de l'après-midi, celui-ci arrive. Soudain le convoi reste bloqué suite à un encombrement : Ravaillac profite de l'aubaine et se jette sur le roi. il lui porte deux coups de couteau mortels à la poitrine. Il est immédiatement maîtrisé et amené à l'Hôtel de Retz afin de lui éviter un lynchage, puis conduit à la Conciergerie.

Lors de ses interrogatoires, il est soumis au supplice des brodequins (instrument en bois qui servait à serrer les jambes d'un condamné jusqu'à les broyer) mais nie avoir été à la solde de quiconque ou avoir quelque complice. Le 27 mai, il est amené sur la Place de Grève devant une foule hurlante, son bras droit — celui qui a frappé le roi — est brûlé au soufre enflammé. Ravaillac est tenaillé aux seins, aux bras et aux jambes. Du plomb fondu, de l’huile bouillante sont versés sur ses plaies… puis il est écartelé par quatre chevaux.

Ses parents furent forcés à l'exil et un édit fut promulgué interdisant à toute personne du royaume de se nommer Ravaillac.

Cet acte a déclenché une énorme polémique : on a accusé les jésuites d'avoir poussé Ravaillac au régicide. On pense aussi qu'il aurait plus ou moins été inspiré par une conspiration à laquelle auraient participé Marie de Médicis, épouse de Henri IV, le duc d'Epernon, la marquise de Verneuil (ancienne maîtresse de Henri IV) ; ils auraient agi pour le compte de l'Espagne. Mais Ravaillac a toujours clamé avoir agi seul

C'était un catho fanatique un peu félé et qui n'aimait pas la poule

au pot !

c'est son cheval blanc qui l'a excité !!!

En 1609, il eut une vision lui demandant de convaincre Henri IV de convertir les Huguenots. Incapable de rencontrer le roi, il interprète la décision de celui-ci d'envahir les Pays-Bas espagnols comme le début d'une guerre contre le pape. Déterminé à arrêter le roi, il décide de le tuer.

Le 14 mai 1610, Ravaillac vole un couteau dans une auberge. Il se cache dans la rue de la Ferronnerie à Paris pour y guetter le passage du carrosse royal, car le roi ayant décidé de se rendre à l'Arsenal pour visiter son ministre Sully qui était souffrant. A quatre heures de l'après-midi, celui-ci arrive. Soudain le convoi reste bloqué suite à un encombrement : Ravaillac profite de l'aubaine et se jette sur le roi. il lui porte deux coups de couteau mortels à la poitrine. Il est immédiatement maîtrisé et amené à l'Hôtel de Retz afin de lui éviter un lynchage, puis conduit à la Conciergerie.

En 1609, Ravaillac eut une vision lui demandant de convaincre Henri IV de convertir les Huguenots. Incapable de rencontrer le roi, il interprète la décision de celui-ci d'envahir les Pays-Bas espagnols comme le début d'une guerre contre le pape. Déterminé à arrêter le roi, il décide de le tuer.

Le 14 mai 1610, Ravaillac vole un couteau dans une auberge. Il se cache dans la rue de la Ferronnerie à Paris pour y guetter le passage du carrosse royal, car le roi ayant décidé de se rendre à l'Arsenal pour visiter son ministre Sully qui était souffrant. A quatre heures de l'après-midi, celui-ci arrive. Soudain le convoi reste bloqué suite à un encombrement : Ravaillac profite de l'aubaine et se jette sur le roi. il lui porte deux coups de couteau mortels à la poitrine. Il est immédiatement maîtrisé et amené à l'Hôtel de Retz afin de lui éviter un lynchage, puis conduit à la Conciergerie.

Lors de ses interrogatoires, il est soumis au supplice des brodequins (instrument en bois qui servait à serrer les jambes d'un condamné jusqu'à les broyer) mais nie avoir été à la solde de quiconque ou avoir quelque complice. Le 27 mai, il est amené sur la Place de Grève devant une foule hurlante, son bras droit — celui qui a frappé le roi — est brûlé au soufre enflammé. Ravaillac est tenaillé aux seins, aux bras et aux jambes. Du plomb fondu, de l’huile bouillante sont versés sur ses plaies… puis il est écartelé par quatre chevaux.

Ses parents furent forcés à l'exil et un édit fut promulgué interdisant à toute personne du royaume de se nommer Ravaillac.

Cet acte a déclenché une énorme polémique : on a accusé les jésuites d'avoir poussé Ravaillac au régicide. On pense aussi qu'il aurait plus ou moins été inspiré par une conspiration à laquelle auraient participé Marie de Médicis, épouse de Henri IV, le duc d'Epernon, la marquise de Verneuil (ancienne maîtresse de Henri IV) ; ils auraient agi pour le compte de l'Espagne. Mais Ravaillac a toujours clamé avoir agi seul.

Un illuminé!...

Ravaillac en 1609, il eut une vision lui demandant de convaincre Henri IV de convertir les Huguenots. Incapable de rencontrer le roi, il interprète la décision de celui-ci d'envahir les Pays-Bas espagnols comme le début d'une guerre contre le pape. Déterminé à arrêter le roi, il décide de le tuer.

Le 14 mai 1610, Ravaillac vole un couteau dans une auberge. Il se cache dans la rue de la Ferronnerie à Paris pour y guetter le passage du carrosse royal, car le roi ayant décidé de se rendre à l'Arsenal pour visiter son ministre Sully qui était souffrant. A quatre heures de l'après-midi, celui-ci arrive. Soudain le convoi reste bloqué suite à un encombrement : Ravaillac profite de l'aubaine et se jette sur le roi. il lui porte deux coups de couteau mortels à la poitrine. Il est immédiatement maîtrisé et amené à l'Hôtel de Retz afin de lui éviter un lynchage, puis conduit à la Conciergerie.

Lors de ses interrogatoires, il est soumis au supplice des brodequins (instrument en bois qui servait à serrer les jambes d'un condamné jusqu'à les broyer) mais nie avoir été à la solde de quiconque ou avoir quelque complice. Le 27 mai, il est amené sur la Place de Grève devant une foule hurlante, son bras droit — celui qui a frappé le roi — est brûlé au soufre enflammé. Ravaillac est tenaillé aux seins, aux bras et aux jambes. Du plomb fondu, de l’huile bouillante sont versés sur ses plaies… puis il est écartelé par quatre chevaux.

Ravaillac n'as tuer perssonne, c'est son disciple Valendrins

qui la fait avec le couteau de ravaillac.