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Aristote

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  • Une priorité: empêcher l'élection de Sarkosy?

    Sarkozy ou la modernité post-démocratique

    Dans une «BD-enquête», La face karchée de Sarkozy, Philippe Cohen, journaliste à Marianne et auteur de La Face cachée du monde, s’attaque à un candidat représentant la «destruction de la politique».

    http://www.amazon.fr/dp/2749303095?tag=sitepersonn...

    Pourquoi une BD plutôt qu’un essai ou une biographie ?

    Au départ, je voulais faire un essai. Mais ces livres consacrés à Sarkozy - même critiques - n’ont pas trouvé leur public comme si le personnage échappait à un regard «classique». En observant le fonctionnement de Sarkozy, j’ai trouvé qu’il ressemblait à un personnage de BD dans le sens où il se met en scène en permanence. Quand j’ai commencé à réfléchir à ce livre, fin 2004-début 2005, c’était particulièrement visible. On avait l’impression qu’il voulait créer une actualité Sarkozy à chaque instant.

    22 réponsesÉlectionsil y a 1 décennie
  • Nicolas Dupont-Aignan jette l'éponge?

    Il n'a pas eu ses 500 signatures et était même très loin du compte!

    Mon avis: Il s'est fait broyer par le rouleau compresseur UMP auquel il faisait parti. L' UMP a dû tout faire pour lui barrer la route, pour pas qu'il ait ses 500 signatures.

    La leçon à tirer est qu'on ne peut pas faire cavalier seul et lutter seul contre une énorme machine (l'UMP)!

    (Répondez vite: Yahoo est aux ordres de Sarkosy et va supprimer cette question dans les 5 minutes)

    8 réponsesÉlectionsil y a 1 décennie
  • Quel est l'homme politique qui a dit:?

    "La France doit choisir entre son adhésion sans réserve à l'Europe et sa disparition de la scène politique mondiale". ?

    15 réponsesPolitiqueil y a 1 décennie
  • Qui vient d'écrire:?

    « Je pense en conscience que Ségolène Royal ne doit pas devenir présidente de la République. Je ne le souhaite pas pour mon pays. Je le redoute pour mes enfants. » XXXX ne votera pas pour la candidate du PS « ni au premier ni au second tour de l’élection. Sauf évidemment si elle était opposée à Jean-Marie Le Pen. (…) On est sur une pente très dangereuse pour la France si elle gagne »

    11 réponsesÉlectionsil y a 1 décennie
  • Qui a dit:?

    « Il ne faut pas se payer de mots. C'est très bien qu'il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu'elle a une vocation universelle. Mais à condition qu'ils restent une petite minorité. Sinon la France ne serait plus la France. Nous sommes avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. »

    11 réponsesÉlectionsil y a 1 décennie
  • Approuvez vous la libéralisation du marché de l'électricité le 1° juillet.?

    Ce dont aucun des "grands candidats" ne parle.

    La libéralisation du marché a été approuvée par les 2 candidats de l'UMPS.

    Références:

    http://www.energiepublique.org/

    Les Suisses ont eu le droit de voter, eux: http://www.letemps.ch/dossiers/22sept200...

    4 réponsesCivismeil y a 1 décennie
  • Quels sont les principaux leaders politiques qui ont défendu les premiers Alfred Dreyfus?

    Quelle était la position de la gauche sur ce sujet?

    5 réponsesPolitiqueil y a 1 décennie
  • Arlette Laguiller et JM Lepen viennent vous voir pour un parrainnage...?

    ... vous décidez de vous déterminer au regard de leurs intentions quant au respect des institutions démocratiques.

    Pour qui signez-vous?

    8 réponsesÉlectionsil y a 1 décennie
  • Quel est le principal parti politique qui a soutenu la prise du pouvoir par Pétain?

    ... et l'abolition, par la voie légale, de la République?

    3 réponsesPolitiqueil y a 1 décennie
  • Comment sauver Airbus?

    Au-delà des difficultés d’organisation du travail entre les différents sites de production, la crise d’Airbus est principalement liée à la surévaluation de l’euro qui pénalise les exportations.

    Les 10 000 suppressions d’emplois annoncées seront aussi inefficaces que les « saignées » des médecins de Molière qui croyaient au 17ème siècle qu’en vidant les malades de leur sang, on les guérissait.

    Pour résoudre la crise d’Airbus, il faut plutôt mettre fin à la politique de l’euro cher en réformant la Banque Centrale européenne. N’oublions pas que l’A380 a été conçu avec un euro égal à un dollar alors qu’aujourd’hui il vaut 1,30 dollar soit un prix de vente des avions de 30% supérieur.

    Il faut aussi rétablir un minimum la préférence communautaire aux frontières de l’Europe. Il n’est pas normal que Lufthansa, Air France, British Airways achètent en ce moment majoritairement des avions Boeing au détriment d’Airbus.

    Enfin, face à des actionnaires privés défaillants, l’Etat doit reprendre la main, refuser la fermeture des sites de Méaulte et de Saint Nazaire, et développer massivement l’actionnariat salarié.

    9 réponsesGouvernementil y a 1 décennie
  • Lamy, Premier ministre de Bayrou?

    Selon le service politique de RTL, le fameux "premier ministre socialiste" de l'hypothètique président Bayrou serait Pascal Lamy, ex-commissaire européen et actuel président de l'OMC. La radio ajoute que les entourages des deux hommes seraient déjà "en contact". François Bayrou n'a jamais cité de nom pour ce poste, mais avait décrit le profil du premier ministre mystère comme un "héritier de Jacques Delors".

    (Avec RTL).

    NB: C'est ce qu'il y a de pire représentant de l'oligrachie régnante, un concentré de Sarkosy et de Ségolène. Un euromondialiste fou-furieux qui représente effectivement toute la classe dominante.

    Si c'est çà le dépassement de la droite et de la gauche!

    2 réponsesGouvernementil y a 1 décennie
  • Quel est le principal parti politique qui a soutenu la prise du pouvoir par Pétain...?

    ... et l'abolition de la République le 10 juillet 1940?

    11 réponsesPolitiqueil y a 1 décennie
  • Le saviez-vous? La fin du tarif postal unique?

    L'Allemagne, qui préside actuellement l'Union européenne, met les bouchées doubles afin d' obtenir la libéralisation totale du marché postal. Une libéralisation qui rime avec la fin du tarif postal unique et la mise en place de tarifs variés selon la destination des courriers et les difficultés d'acheminement. Sera-t-il donc, demain, plus coûteux d'envoyer de Paris une lettre en Haute-Savoie qu'en Beauce ? C'en serait donc fini d'un principe fondamental du service public : l'égalité de traitement et c'est bel et bien ce que permettrait la directive en cours de rédaction à la Commission.

    Le texte ouvre en effet à la concurrence, en 2009, la distribution des lettres de moins de 50 grammes, clôturant ainsi une page ouverte en 1464 par la volonté de Louis XI.

    http://www.observatoiredeleurope.com/La-fin-du-tar...

    4 réponsesÉlectionsil y a 1 décennie
  • Regrettez-vous le franc?

    Les européens regrettent leurs devises nationales

    Selon un sondage publié par le Financial Times aujourd'hui, plus des deux tiers des européens constatent l'échec de l'euro et regrettent leurs monnaies nationales. Pendant ce temps, la BCE prépare une nouvelle hausse de ses taux. En France, malgré le matraquage du politiquement correct, seuls 5% des personnes interrogées estime que l'euro est bénéfique pour l'économie, la croissance et les prix. Pendant ce temps là, aucun des candidats annoncés vainqueurs de la présidentielle, ne remet en cause les options définies à Maästricht et consacrées dans le projet de constitution européenne.

    http://www.observatoiredeleurope.com/Les-europeens...

    16 réponsesPolitique et gouvernement - Diversil y a 1 décennie
  • Le gaullisme est-il soluble dans le centrisme?

    Il est piquant de voir François Bayrou, l'héritier spirituel de Jean Lecanuet et de Valéry Giscard d'Estaing, se réclamer du rassemblement national entrepris, au delà des partis, par le Général de Gaulle. De même, on a pu voir Jean-Marie Le Pen se dire "économiquement de droite et socialement de gauche". L'un comme l'autre ont compris que les Français ne veulent plus des oppositions stériles entre la droite et la gauche. Car les valeurs qu'elles incarnent, respectivement l'autorité et la justice sociale, sont en fait indissociables, et le peuple est légitimement attaché à l'une comme à l'autre.

    C'est pourquoi Ségolène Royal a pu faire illusion, un temps, lorsqu'elle avait paru s'écarter de la logique du PS. En étant encadrée maintenant par les éléphants, elle perd tout ce qui faisait son originalité. Symétriquement, les Français ne sont pas dupes du vernis pseudo-gaulliste qu'avait apporté Henri Guaino, au risque de désorienter les partisans les plus déterminés de Nicolas Sarkozy, afin de dissimuler son fonds idéologique inspiré du modèle de George Bush. Il est d'ailleurs curieux de voir l'un de ses partisans, Alain-Gérard Slama, proclamer dans Le Figaro la nécessité d'avoir deux visions antagonistes de la société, à l'inverse de la logique gaulliste dont se réclamait naguère le RPR.

    Certes, cela ne signifie pas qu'il ne doive plus y avoir qu'un seul mouvement politique, même s'il est parfois nécessaire de recourir à l'union nationale dans une situation d'urgence. Mais, dans une démocratie apaisée, ces deux formations peuvent partager les mêmes idées sur l'essentiel, divergeant surtout en ce qui concerne les équipes mises en place, ceci afin de permettre une alternance utile. Tel était le cas, jusqu'au début des années 80, dans la démocratie américaine. Or la lente hausse du poids relatif des dépenses publiques, et par conséquent des prélèvements obligatoires, a exigé à ce moment de mettre un frein à cette dérive, ce qui explique l'arrivée au pouvoir de Ronald Reagan aux Etats-Unis (la situation était encore plus inquiétante au Royaume-Uni avant l'arrivée de Margaret Thatcher). 

    L'erreur ne fut pas dans ce redressement nécessaire, mais dans la naissance d'une doctrine néo-libérale de plus en plus intransigeante, étendue maintenant à l'échelle de la planète entière par la mondialisation. Le résultat en est, aux Etats-Unis comme au Royaume-Uni, un accroissement considérable des inégalités sociales, allant à rebours de la tendance observée auparavant depuis un siècle. Dans les pays développés, seule une petite minorité s'enrichit de plus en plus, cependant que le plus grand nombre des salariés voit son pouvoir d'achat stagner, voire décliner, l'alignement international se faisant vers le bas.

    Dans ce contexte, l'extrémisme ultra-libéral d'une partie de l'UMP nourrit l'extrémisme gauchiste des alliés naturels du PS. Le clivage droite-gauche tend à s'affirmer dans les discours. Mais en refusant de dénoncer les Traités qui nous ligotent, ces partis se condamnent en fait à la même impuissance, qu'ils partagent tous deux avec le centrisme à la Bayrou. Car si la logique gaulliste est plus nécessaire que jamais, deux points fondamentaux nous séparent de celui-ci.

    -         Le général de Gaulle fondait toute politique de redressement sur la volonté nationale. Or le centrisme poursuit la chimère de l'européisme supranational, qui explique le carcan entravant toute tentative de redressement, et qui dilue l'Europe dans l'atlantisme et le mondialisme. Encore peut-on remarquer que, de ce point de vue, Bayrou est moins anti-gaulliste que Sarkozy : il admet qu'une révision du projet de pseudo-constitution, rejeté par le peuple français le 29 mai 2005, ne pourrait pas être adoptée sans un nouveau referendum.

    -         Le général de Gaulle manifestait une volonté effective de réforme. A l'inverse, l'arrivée au pouvoir de Bayrou signifierait le retour aux compromis boiteux de la quatrième République. Il a d'ailleurs fait la preuve de son inefficacité comme Ministre de l'éducation nationale. La partie la plus négative de son intervention, lundi 26 février au soir sur TF1, fut celle où il refusait de condamner la méthode globale de lecture et prétendait poursuivre son alliance avec les syndicats rétrogrades, adeptes du pédagogisme.

    Si pouvait parvenir, au second tour de l'élection présidentielle, un candidat rejetant le clivage droite-gauche, il serait sûr d'être élu, tant est grande la lassitude des Français. Cela aurait pu être le cas de Jean-Pierre Chevènement, s'il n'avait pas été entravé par une mauvaise campagne. Cette année, ce pourrait être le cas de François Bayrou, s'il n'est pas rattrapé par ses erreurs antérieures. Je préfèrerais évidemment, et de beaucoup, que ce soit Nicolas Dupont-Aignan.  

    8 réponsesÉlectionsil y a 1 décennie